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La problèmatique (ou l’espoir) de développement est un sujet très courant en entreprise compte tenu ou c’est pour ainsi dire dans son objet même. Une entreprise qui n’est pas dans une logique d’évolution ou de croissance peut assez vite se mettre en danger par cet effet d’inertie, étant entendu que son environnement, lui ne s’arrétera jamais d’évoluer et que cette évolution s’effectue à un rythme de plus en plus rapide.

Face à cette situation, il est essentiel que les entrepreneurs, éventuellement aidés par leur équipe, puisse avoir une « stratégie » ou en tout cas une vision. De notre point de vue, il convient de ne pas appréhender cette nécessité car :

  • D’abord, soyons clair, nous faisons tous de « la stratégie » pour peu que nous nous projetons vers notre avenir ;
  • « Stratégie » n’est pas forcément synonyme de « réflexion collective ultracomplexe, nécessitant des données et des méthodes quasi inaccessible … » et il est relativement facile d’élaborer une vision suffisamment structurée et claire pour piloter son entreprise et son équipe ;
  • Enfin et en complément du second point, il existe de nombreux outils (Business Model Canvas, Matrice SWOT, Analyse Pestel…) à la fois (très) simple à manipuler et offrant une vision tout à fait pertinente.

A cela il convient cependant d’ajouter 2 élèments, peut-être plus importants que la méthode d’élaboration de la stratégie :

  • La première, assez complexe et pouvant prendre du temps, est la collecte de l’information pertinente. En effet, nous évoluons, notamment depuis le développement d’internet dans un environnement où évolue pléthore d’information. Malgré cela, la difficulté reste entière : comment définir et recueillir la BONNE information ?
  • La seconde semble plus simple en apparence ou en tout cas plus accessible, mais finalement assez difficile également dans la réalité. Il s’agit de la partie concernant la conduite du plan stratégique. Et nous retrouvons les questions dédiées à la gestion de projet nécessitant une bonne dose de rigueur, uné capacité à utiliser les bonnes méthodes et outils et surtout à enmener l’entreprise, et en premier lieu les équipes qui la constitue dans un processus de changement.

Parrallèlement à ce premier processus de management de la stratégie, 2 « piliers » du développement d’entreprise offrent de très bons résultats, le lean management et le 6sigma.

Le premier est utilisable quelque soit l’entreprise, le second également mais est tout de même beaucoup plus performant lorsqu’il s’agit d’entreprise industrielle avec des productions en série.

Nous ne développerons pas d’avantage ses 2 disciplines ici tant elles offrent un contenu riche (vous retrouverez par contre de nombreux développement développements et outils dans la partie blog de notre site) mais cependant nous rappelons que

  • Le lean (en anglais « maigre ») est un ensemble de techniques permettant aux entreprises d’être plus efficace en optimisant sa création de valeur. Attention, il ne s’agit pas de « cost killing » (même si de nombreuses entreprises l’ont utilisé ainsi) mais a contraire un moyen de gagner en productivité pour l’entreprise et en confort pour les salariés. Le lean a été développé par une entreprise emblématique : Toyota dans un contexte d’après seconde guerre mondiale marqué au Japon (comme beaucoup dans le monde) par une très forte influence américaine et des méthodes développées par eux (l’exemple le plus parlant étant Deming) et par une situation de pénurie nécessitant de faire la guerre aux gaspillages (« muda » pour les intimes).
  • Le 6 sigma est une méthode un peu plus technique que le Lean car il s’appuie sur les méthodes statistiques. Elle a été développée par une autre entreprise, l’américain MOTOROLA.
    En principe, une production industrielle suit une loi normale ayant comme caractéristiques d’avoir une répartition autour de la moyenne « ramassée et équilibrée » nous permettant d’obtenir une « belle » courbe de Gauss. Cette spécificité statistique nous permette de mesurer puis améliorer la qualité de la production jusqu’à obtenir moins de 4 pièces defectueuses pour 1 million de pièce produite (+ ou – 3σ autour de la moyenne).

Enfin afin d’augmenter la performance de l’entreprise, l’association des 2 méthodes du Lean et du 6sigma est réalisable (voire même naturelle) à partir de la méthode DMAIC.